Mario,
te muestro estas palabras que lloran,
que están en el umbral,
que son un anticipo
un cierre
un cierre
y una despedida.
Je pleure. Mes yeux ne pleurent pas. C´est ma main qui
pleure. Elle pleure parce qu´elle a torp envie de pleurer. Elle pleure tout bas, des larmes d´encre. Elle
pleure en silence tout ce qui ne peut pas être dit. Elle pleure des larmes qui
se cachent dans une autre langue. Elles pleure des larmes gardées. Des larmes
anciennes, des larmes qui arrivent en retard et des larmes qui arrivent torp en
avance. Elle pleure tout ce que les yeux ne peuvent pas pleurer. Et la blacheur calme et tendre du papier les
reçoit, et le silence les caresse, il les berce, il leur chante tout bas. Elles sont endormies. Maintenant c´est moi qui pleure tout bas, pour ne
pas les réveiller.
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